"Reprenons en quelques mots. Huit mois avant le naufrage inéluctable au vu des gaspillages et des demandes répétées de la majorité Modem-PS-PCR du Conseil général de restructuration, M. Jacquemart, directeur de l’ARAST, négocie un nouveau contrat avec son conseil d’administration. Facile, car les élus du Conseil général ne siègent pas au Conseil d’administration de l’association de peur d’être taxés d’ingérence.
Aux termes de ce nouveau contrat, M Jacquemart bénéficie d’une clause de garantie d’emploi. En d’autres termes, l’association n’a pas le droit de le renvoyer, ou plutôt, si elle le fait, elle doit payer des indemnités faramineuses. Pourquoi le Conseil d’administration accepte-t-il cette clause ?
Parce qu’il sait bien que jamais il ne sera confronté à un tel dilemme, vu que l’association, tout le monde le sait en interne, est sur le point de fermer ! En revanche il assure ainsi à M Jacquemart un confortable matelas. Matelas que vient de toucher l’ancien directeur : 255.000 € !
Et voilà comment le conseil des prud’hommes vient démontrer que
- 1) c’est bien à l’AGS de payer les indemnités de licenciement, puisque c’est bien cette structure qui est condamnée, et non pas le Conseil général,
- 2) le naufrage était prévisible, anticipé, (voire programmé ?) par les directeurs de l’association et le conseil d’administration, sans que le Conseil général puisse intervenir. 1.000 salariés en ont fait les frais. Ils ont désigné les mauvais responsables, la justice vient de leur montrer les vrais coupables.
Aux termes de ce nouveau contrat, M Jacquemart bénéficie d’une clause de garantie d’emploi. En d’autres termes, l’association n’a pas le droit de le renvoyer, ou plutôt, si elle le fait, elle doit payer des indemnités faramineuses. Pourquoi le Conseil d’administration accepte-t-il cette clause ?
Parce qu’il sait bien que jamais il ne sera confronté à un tel dilemme, vu que l’association, tout le monde le sait en interne, est sur le point de fermer ! En revanche il assure ainsi à M Jacquemart un confortable matelas. Matelas que vient de toucher l’ancien directeur : 255.000 € !
Et voilà comment le conseil des prud’hommes vient démontrer que
- 1) c’est bien à l’AGS de payer les indemnités de licenciement, puisque c’est bien cette structure qui est condamnée, et non pas le Conseil général,
- 2) le naufrage était prévisible, anticipé, (voire programmé ?) par les directeurs de l’association et le conseil d’administration, sans que le Conseil général puisse intervenir. 1.000 salariés en ont fait les frais. Ils ont désigné les mauvais responsables, la justice vient de leur montrer les vrais coupables.